Le bégaiement est un trouble de la parole. La succession normale des mouvements de la parole est interrompue involontairement.
Le bégaiement résulte d’une combinaison de facteurs génétiques, de facteurs biologiques et hormonaux de croissance qui définissent finalement le fonctionnement cérébral nécessaire à la production de la parole.
Le bégaiement peut diminuer ou s’intensifier selon certains facteurs, appelés facteurs favorisant.
Le bégaiement peut également se développer négativement. Cette évolution négative peut être évitée ou limitée grâce à une thérapie spécifique.
Le bégaiement résulte d’une combinaison de facteurs génétiques, de facteurs biologiques et hormonaux de croissance qui définissent finalement le fonctionnement cérébral nécessaire à la production de la parole.
Le bégaiement peut diminuer ou s’intensifier selon certains facteurs, appelés facteurs favorisant.
Le bégaiement peut également se développer négativement. Cette évolution négative peut être évitée ou limitée grâce à une thérapie spécifique.
Le bégaiement se développe typiquement chez les jeunes enfants. L’âge moyen où le bégaiement se manifeste est de 3 ans. La moitié des enfants commencent à bégayer avant l’âge de 3 ans, l’autre moitié après l’âge de 3 ans et la plupart du temps avant 9 ans.
Certains enfants qui consultent un thérapeute mentionnent avoir bégayé très tard, par exemple à l’âge de 13 ans. En analysant ces cas, on remarque qu’il ne s’agit pas toujours de bégaiement. L’analyse de ces quelques cas montre également que certains d’entre eux n’ont pas été rapportés correctement ou bien qu’ils ont bégayé étant plus jeune, suivi d’une longue période fluide puis ont recommencé à bégayer plus tard.
À côté de la fatigue et des émotions, le pic de croissance à l’adolescence peut être un facteur favorisant important dans le bégaiement.
Certains enfants qui consultent un thérapeute mentionnent avoir bégayé très tard, par exemple à l’âge de 13 ans. En analysant ces cas, on remarque qu’il ne s’agit pas toujours de bégaiement. L’analyse de ces quelques cas montre également que certains d’entre eux n’ont pas été rapportés correctement ou bien qu’ils ont bégayé étant plus jeune, suivi d’une longue période fluide puis ont recommencé à bégayer plus tard.
À côté de la fatigue et des émotions, le pic de croissance à l’adolescence peut être un facteur favorisant important dans le bégaiement.
Souvent les parents voient justes quand ils soupçonnent un bégaiement chez leur enfant. Cependant, il arrive parfois que ce soit autre chose. Ni la gravité du bégaiement, ni la probabilité d’une récupération spontanée (sans aide) ou la probabilité que le bégaiement se développe négativement ne peuvent être facilement estimées.
Dans le cas où un traitement serait nécessaire, il est conseillé de le commencer aussi tôt que possible. Une thérapie cognitive et comportementale est déjà possible chez les très jeunes enfants (2-5 ans), durant la période où la parole et le langage sont en plein développement.
Selon une étude sur les effets à long terme de cette thérapie, ce sont les jeunes enfants qui montrent les meilleurs résultats en ce qui concerne la parole et l’attitude par rapport à leur parole.
Il est donc conseillé aux parents de faire évaluer la parole de leur enfant par un logopède, de préférence spécialisé dans le bégaiement.
Consultez tout d’abord votre médecin généraliste ou médecin spécialiste (exp : pédiatre) qui peut vous réorienter pour un bilan logopédique en raison du bégaiement.
Dans le cas où un traitement serait nécessaire, il est conseillé de le commencer aussi tôt que possible. Une thérapie cognitive et comportementale est déjà possible chez les très jeunes enfants (2-5 ans), durant la période où la parole et le langage sont en plein développement.
Selon une étude sur les effets à long terme de cette thérapie, ce sont les jeunes enfants qui montrent les meilleurs résultats en ce qui concerne la parole et l’attitude par rapport à leur parole.
Il est donc conseillé aux parents de faire évaluer la parole de leur enfant par un logopède, de préférence spécialisé dans le bégaiement.
Consultez tout d’abord votre médecin généraliste ou médecin spécialiste (exp : pédiatre) qui peut vous réorienter pour un bilan logopédique en raison du bégaiement.
NON, le bégaiement n’est pas une phase normale du développement langagier de l’enfant. Malheureusement, cette fausse idée est encore souvent transmise aux parents. Pourquoi ?
Le bégaiement chez l’enfant peut susciter de l’inquiétude. Il est possible que les autres veuillent consoler les parents en leur disant que les manifestations du bégaiement sont une phase normale du développement et suggèrent que cela finira par passer.
Pour une partie des enfants, il peut en effet y avoir une récupération spontanée. Dans le cas où le bégaiement est léger, que l’enfant est peu sensible et que l’environnement réagit peu face au bégaiement, la récupération spontanée se produit chez environ 73 % des enfants. Cela peut donner l’impression que le bégaiement n’est qu’une phase du développement normal.
Malheureusement, les chances de récupération spontanées dans le cas des bégaiements plus sévères sont moindres. Seulement 16 % des enfants ayant montré un bégaiement modéré à sévère récupèrent spontanément.
Le bégaiement chez l’enfant peut susciter de l’inquiétude. Il est possible que les autres veuillent consoler les parents en leur disant que les manifestations du bégaiement sont une phase normale du développement et suggèrent que cela finira par passer.
Pour une partie des enfants, il peut en effet y avoir une récupération spontanée. Dans le cas où le bégaiement est léger, que l’enfant est peu sensible et que l’environnement réagit peu face au bégaiement, la récupération spontanée se produit chez environ 73 % des enfants. Cela peut donner l’impression que le bégaiement n’est qu’une phase du développement normal.
Malheureusement, les chances de récupération spontanées dans le cas des bégaiements plus sévères sont moindres. Seulement 16 % des enfants ayant montré un bégaiement modéré à sévère récupèrent spontanément.
Récupération spontanée :
Les chiffres concernant la récupération spontanée diffèrent d’une étude à l’autre. Cette diversité de résultats s’explique par des différences propres à chaque étude. Par exemple : Comment le bégaiement est-il défini ? Est-ce que le bégaiement est mesuré directement ou est-ce que l’étude se base sur des observations rapportées ? Est-ce qu’on a suivi les enfants qui ont bégayé pour ensuite définir la récupération spontanée ou s’est-on basé sur le discours des personnes mentionnant avoir bégayé plus jeunes ? La période pendant laquelle on a suivi les personnes ayant récupéré spontanément, est-elle courte ou longue ? Est-ce qu’on a pris en compte la possibilité de rechute ? Est-ce qu’on a pris en compte la récupération spontanée ou la récupération après thérapie ?
Les résultats de l’étude de R. Boey sur la récupération (et la rechute) montrent que le degré de sévérité du bégaiement joue un rôle.
Pour les bégaiements légers, chez des enfants peu sensibles et qui grandissent dans un environnement réagissant peu au bégaiement, la récupération est observée dans 73 % des cas. Cela peut donner l’impression qu’il ne s’agit que d’une phase du développement. Dans ces 73 %, la rechute a été prise en compte.
Malheureusement, les chances de récupération spontanées dans le cas des bégaiements plus sévères sont moindres. Seulement 16 % des enfants ayant montré un bégaiement modéré à sévère récupèrent spontanément. Ici aussi, les chances de rechutes ont été prises en compte.
Rechute :
Chez les jeunes enfants suivant une thérapie cognitive et comportementale, on estime que 12 %, suite à une rechute, auront à nouveau besoin d’une thérapie plus tard. Dans ce groupe, nous retrouvons 4 fois plus de garçons que de filles. Apparemment, les garçons sont plus vulnérables à la rechute.
Les chiffres concernant la récupération spontanée diffèrent d’une étude à l’autre. Cette diversité de résultats s’explique par des différences propres à chaque étude. Par exemple : Comment le bégaiement est-il défini ? Est-ce que le bégaiement est mesuré directement ou est-ce que l’étude se base sur des observations rapportées ? Est-ce qu’on a suivi les enfants qui ont bégayé pour ensuite définir la récupération spontanée ou s’est-on basé sur le discours des personnes mentionnant avoir bégayé plus jeunes ? La période pendant laquelle on a suivi les personnes ayant récupéré spontanément, est-elle courte ou longue ? Est-ce qu’on a pris en compte la possibilité de rechute ? Est-ce qu’on a pris en compte la récupération spontanée ou la récupération après thérapie ?
Les résultats de l’étude de R. Boey sur la récupération (et la rechute) montrent que le degré de sévérité du bégaiement joue un rôle.
Pour les bégaiements légers, chez des enfants peu sensibles et qui grandissent dans un environnement réagissant peu au bégaiement, la récupération est observée dans 73 % des cas. Cela peut donner l’impression qu’il ne s’agit que d’une phase du développement. Dans ces 73 %, la rechute a été prise en compte.
Malheureusement, les chances de récupération spontanées dans le cas des bégaiements plus sévères sont moindres. Seulement 16 % des enfants ayant montré un bégaiement modéré à sévère récupèrent spontanément. Ici aussi, les chances de rechutes ont été prises en compte.
Rechute :
Chez les jeunes enfants suivant une thérapie cognitive et comportementale, on estime que 12 %, suite à une rechute, auront à nouveau besoin d’une thérapie plus tard. Dans ce groupe, nous retrouvons 4 fois plus de garçons que de filles. Apparemment, les garçons sont plus vulnérables à la rechute.
Une partie des parents mentionnent qu’ils ont clairement remarqué le bégaiement chez leur enfant. Quand ils se renseignent à la crèche ou auprès de l’institutrice, on leur répond parfois qu’ils n’ont pas remarqué le bégaiement. Comment expliquer cela ?
Dans 98 % des cas, les parents qui viennent consulter avec leur enfant pour du bégaiement ont vu juste.
Le bégaiement varie en fréquence et en intensité. Il se manifeste que très peu dans les phrases courtes de jeunes enfants (bien qu’il existe des exceptions). Donc si, en classe, l’enfant donne une réponse courte, il est possible que l’enseignant perçoive une parole fluide.
Quand l’enfant parle seul, ou à la place de poupées dans un jeu, il ne va presque jamais bégayer. C’est également le cas lorsqu’il chante des chansons ou répète des poèmes.
Une autre explication constatée est que la personne essaie de rassurer les parents en donnant une réponse négative. Exceptionnellement, nous avons également vu des grands-parents nier le bégaiement de leurs petits-enfants, pourtant clairement présent, en raison de leur sensibilité.
Dans 98 % des cas, les parents qui viennent consulter avec leur enfant pour du bégaiement ont vu juste.
Le bégaiement varie en fréquence et en intensité. Il se manifeste que très peu dans les phrases courtes de jeunes enfants (bien qu’il existe des exceptions). Donc si, en classe, l’enfant donne une réponse courte, il est possible que l’enseignant perçoive une parole fluide.
Quand l’enfant parle seul, ou à la place de poupées dans un jeu, il ne va presque jamais bégayer. C’est également le cas lorsqu’il chante des chansons ou répète des poèmes.
Une autre explication constatée est que la personne essaie de rassurer les parents en donnant une réponse négative. Exceptionnellement, nous avons également vu des grands-parents nier le bégaiement de leurs petits-enfants, pourtant clairement présent, en raison de leur sensibilité.
Si vous soupçonnez un bégaiement chez un jeune enfant, prenez la peine d’aller faire un bilan. Vous recevrez des recommandations spécifiques basées sur :
Premièrement, ne donnez pas des conseils sur la façon dont l’enfant doit s’exprimer.
Deuxièmement, ne donnez pas de commentaires négatifs sur la parole.
Donc pas : respire bien, parle tranquillement, recommence, réfléchis avant de parler…. Ces conseils ont clairement un impact négatif. Ils éveillent chez l’enfant une conscience plus précoce du bégaiement et participent à la mise en place des comportements secondaires : comportements d’évitement, mouvements secondaires… Voir aussi : réactions des interlocuteurs (lien vers la page).
Par commentaires négatifs, nous entendons par exemple : « parle correctement », « quand tu le veux, tu peux », « ne parle pas comme ça », « si tu parles bien, tu recevras une glace »… Cela donne l’impression à l’enfant que s’il le veut et s’il fait attention à sa parole, il parlera de façon fluide. La faute du bégaiement repose alors sur l’enfant. Or ce n’est pas de sa faute. Ces recommandations et commentaires peuvent avoir des effets négatifs sur le développement de l’enfant et de ses relations avec la personne qui le conseille.
- les informations demandées,
- les observations directes,
- les résultats des tests concernant la parole de votre enfant et
- l’évaluation des facteurs qui entrent en compte dans la récupération spontanée ou dans le risque d’un développement négatif.
Premièrement, ne donnez pas des conseils sur la façon dont l’enfant doit s’exprimer.
Deuxièmement, ne donnez pas de commentaires négatifs sur la parole.
Donc pas : respire bien, parle tranquillement, recommence, réfléchis avant de parler…. Ces conseils ont clairement un impact négatif. Ils éveillent chez l’enfant une conscience plus précoce du bégaiement et participent à la mise en place des comportements secondaires : comportements d’évitement, mouvements secondaires… Voir aussi : réactions des interlocuteurs (lien vers la page).
Par commentaires négatifs, nous entendons par exemple : « parle correctement », « quand tu le veux, tu peux », « ne parle pas comme ça », « si tu parles bien, tu recevras une glace »… Cela donne l’impression à l’enfant que s’il le veut et s’il fait attention à sa parole, il parlera de façon fluide. La faute du bégaiement repose alors sur l’enfant. Or ce n’est pas de sa faute. Ces recommandations et commentaires peuvent avoir des effets négatifs sur le développement de l’enfant et de ses relations avec la personne qui le conseille.
Les logopèdes sont formées pour évaluer la parole des enfants qui bégaient. Toutefois, dans le métier de la logopédie, certains logopèdes préfèrent renvoyer le patient vers un ou une collègue spécialisé(e) dans le bégaiement afin de réaliser le bilan.
En Wallonie, dans le cadre de l’assurance-maladie, le bilan peut être effectué sous prescription par un médecin généraliste ou spécialisé possédant un numéro INAMI. Pour plus d’informations, consultez votre mutuelle.
Informations sur le bilan :
La plupart des logopèdes préfèrent prendre contact par téléphone. Cela permet de donner des informations concernant le bilan : sur le contenu, le déroulement, la durée, le coût, quelles personnes doivent être présentes ? Le logopède vous donnera également un rendez-vous pour le bilan ainsi que les coordonnées du centre.
Un bilan chez les jeunes enfants demande préférentiellement la présence de l’enfant et de ses deux parents. D’abord, le logopède effectuera une anamnèse durant laquelle les parents peuvent donner des informations sur la parole de leur enfant et les facteurs qui s’y rapportent. Ensuite, le logopède va récolter un échantillon de langage dans une situation de jeu avec l’enfant. Cette séquence est souvent filmée. Directement ou après analyse de l’échantillon filmé, les résultats permettent de dire s’il s’agit d’un bégaiement ou pas. Si l’analyse est positive, les résultats permettent également de donner le degré de sévérité du bégaiement. L’ensemble des résultats du bilan et les recommandations qui en découlent sont expliqués aux parents.
En Wallonie, dans le cadre de l’assurance-maladie, le bilan peut être effectué sous prescription par un médecin généraliste ou spécialisé possédant un numéro INAMI. Pour plus d’informations, consultez votre mutuelle.
Informations sur le bilan :
La plupart des logopèdes préfèrent prendre contact par téléphone. Cela permet de donner des informations concernant le bilan : sur le contenu, le déroulement, la durée, le coût, quelles personnes doivent être présentes ? Le logopède vous donnera également un rendez-vous pour le bilan ainsi que les coordonnées du centre.
Un bilan chez les jeunes enfants demande préférentiellement la présence de l’enfant et de ses deux parents. D’abord, le logopède effectuera une anamnèse durant laquelle les parents peuvent donner des informations sur la parole de leur enfant et les facteurs qui s’y rapportent. Ensuite, le logopède va récolter un échantillon de langage dans une situation de jeu avec l’enfant. Cette séquence est souvent filmée. Directement ou après analyse de l’échantillon filmé, les résultats permettent de dire s’il s’agit d’un bégaiement ou pas. Si l’analyse est positive, les résultats permettent également de donner le degré de sévérité du bégaiement. L’ensemble des résultats du bilan et les recommandations qui en découlent sont expliqués aux parents.
Une des conclusions du bilan peut être la recommandation de suivre une thérapie. Le logopède ayant effectué le bilan va réorienter les parents vers un(e) collègue ou proposer de donner la thérapie.
Dans ce cas, le logopède va en discuter avec les parents. Il ou elle donnera des informations sur le contenu, le déroulement et les conditions de la thérapie.
En séances, le jeune enfant sera en présence d’un des deux parents. Cela permettra aux parents de mieux comprendre le bégaiement ainsi que le travail réalisé en séances.
Certaines thérapeutes, notamment en Flandre, proposent également aux parents de suivre un cours. De cette manière, les parents sont informés et formés pour participer à la thérapie de leur enfant et savoir comment réagir à la maison. Sans la collaboration des parents, il est difficile d’obtenir de bons résultats.
Avant que la thérapie ne puisse commencer, les parents doivent obtenir une prescription de traitement logopédique par un médecin ORL, un neurologue, un neuropsychiatre, un psychiatre, un neuropédiatre ou un pédiatre. Concrètement, le logopède donnera aux parents une copie du bilan pour le médecin prescripteur. Si l’avis du médecin est favorable, il va prescrire un traitement.
Quelques conditions générales :
Dans ce cas, le logopède va en discuter avec les parents. Il ou elle donnera des informations sur le contenu, le déroulement et les conditions de la thérapie.
En séances, le jeune enfant sera en présence d’un des deux parents. Cela permettra aux parents de mieux comprendre le bégaiement ainsi que le travail réalisé en séances.
Certaines thérapeutes, notamment en Flandre, proposent également aux parents de suivre un cours. De cette manière, les parents sont informés et formés pour participer à la thérapie de leur enfant et savoir comment réagir à la maison. Sans la collaboration des parents, il est difficile d’obtenir de bons résultats.
Avant que la thérapie ne puisse commencer, les parents doivent obtenir une prescription de traitement logopédique par un médecin ORL, un neurologue, un neuropsychiatre, un psychiatre, un neuropédiatre ou un pédiatre. Concrètement, le logopède donnera aux parents une copie du bilan pour le médecin prescripteur. Si l’avis du médecin est favorable, il va prescrire un traitement.
Quelques conditions générales :
- Un des deux parents, de façon alternée si possible, participe aux séances individuelles de leur enfant.
- La fréquence des séances est de 1 à 2 x 30 minutes par semaine.
- Des séances de 1 h avant l’âge de 10 ans ne sont pas conseillées et sont interdites par les caisses d’assurance-maladie (non remboursées). Renseignez-vous auprès de votre mutuelle.
- L’enfant suit les séances à des moments favorables pour lui, notamment lorsqu’il n’est pas fatigué.
- Dans le cas où, malgré toutes les solutions mises en place, la thérapie n’est pas suivie de façon assidue ou que les parents ne suivent pas la guidance parentale, le logopède se voit le droit d’arrêter la thérapie.